Présentateur : Retour en France avec ce nouveau mode de
tourisme, directement inspiré de ce qui se fait à New-York depuis le début des
années 90. Certains habitants, surnommés les greeters, proposent une visite
gratuite de leur quartier. Un phénomène qui séduit de plus en plus de villes.
Voyez le reportage de Catherine Rougerie avec Vincent Piffeteau.
Journaliste : Ils viennent de New-York et l’attendent avec impatience. Patrick Lucard sort du métro, il est analyste financier et il va faire découvrir à ce jeune couple Paris.
Patrick Lucard : Welcome in Paris ! Welcome at the limit between Paris and the Bois de Boulogne !
Journaliste : Au petit groupe se joint une étudiante en géographie. Bienvenue dans l’univers des greeters ! Du verbe anglais, to greet, accueillir. Le principe ? Faire visiter gratuitement sa ville ou son quartier comme à des amis, loin des sentiers battus.
Patrick Lucard : It will change of Notre Dame… Cela vous changera de Notre Dame, de la Tour Eiffel. Vous allez voir bien autre chose. You will see something else.
Journaliste : Et c’est parti pour une visite de 4 heures ! Direction : les serres d’Auteuil. Après Amsterdam et Rome, ce jeune couple a mis le cap sur Paris et n’est pas déçu.
Megan Smuckler et Collin Emerick : Etre à l’extérieur de la ville, loin des gens, dans le calme. Vous ne pourriez jamais imaginer qu’on est à Paris.
Journaliste : Puis, place au marché de Boulogne Billancourt pour enchanter les papilles.
Commerçant : On a… Tout le monde veut goûter ?
Megan Smuckler et Collin Emerick : Very good ! Très bon ! Si vous visitez avec quelqu’un qui connaît, qui vit dans la ville, vous apprenez bien plus.
Journaliste : Une rencontre riche des deux côtés.
Patrick Lucard : Tout au long de la promenade, on a parlé autant de Boulogne et beaucoup de New-York ! Euh… Et c’est ça qui, la manière dont ils vivent, la manière dont ils voient les choses et c’est ça qui est intéressant !
Journaliste : les greeters sont nés dans les années 90 à New-York. Le succès est immédiat. Etats-Unis, Chine, Russie, Côte d’Ivoire, Argentine, Australie. Aujourd’hui, les greeters sont essaimés dans plus de 25 pays, regroupés dans un réseau mondial. Et pour profiter d’une balade, il suffit de se connecter, de choisir son pays et de réserver. C’est ce qu’a fait cette famille bruxelloise pour son escapade niçoise.
Chantal Bianchi-Sala : Clément Bonjour ! Bon, je suis Chantal et je suis greeter. On va se faire une petite balade dans la ville.
Journaliste : Et ça commence par le Vieux Nice, ses ruelles étroites, ses maisons serrées et son riche patrimoine.
Chantal Bianchi-Sala : Si vous vous retournez, derrière, l’église, c’est Sainte-Rita, en fait. Elle a été construite sur une.. une des plus vieilles chapelles de Nice.
Journaliste : Au menu de la visite, une recette : les beignets de fleurs de courgette.
Chantal Bianchi-Sala : Une courgette beurre. Elle est beaucoup plus tendre, elle a vraiment le goût, ce petit goût de beurre de noisette.
Reporter : Elle parle beaucoup Chantal ? Ca va ? Pas trop ?
Aurore Héran : Elle parle juste ce qu’il faut et puis elle m’a donné des recettes de cuisine. Donc là, on reprendra un peu de Nice dans nos valises.
Journaliste : En France, près de 30 villes sont déjà membres du réseau des greeters.
Source : extrait du JT de France 2, 16 juillet 2013
Journaliste : Ils viennent de New-York et l’attendent avec impatience. Patrick Lucard sort du métro, il est analyste financier et il va faire découvrir à ce jeune couple Paris.
Patrick Lucard : Welcome in Paris ! Welcome at the limit between Paris and the Bois de Boulogne !
Journaliste : Au petit groupe se joint une étudiante en géographie. Bienvenue dans l’univers des greeters ! Du verbe anglais, to greet, accueillir. Le principe ? Faire visiter gratuitement sa ville ou son quartier comme à des amis, loin des sentiers battus.
Patrick Lucard : It will change of Notre Dame… Cela vous changera de Notre Dame, de la Tour Eiffel. Vous allez voir bien autre chose. You will see something else.
Journaliste : Et c’est parti pour une visite de 4 heures ! Direction : les serres d’Auteuil. Après Amsterdam et Rome, ce jeune couple a mis le cap sur Paris et n’est pas déçu.
Megan Smuckler et Collin Emerick : Etre à l’extérieur de la ville, loin des gens, dans le calme. Vous ne pourriez jamais imaginer qu’on est à Paris.
Journaliste : Puis, place au marché de Boulogne Billancourt pour enchanter les papilles.
Commerçant : On a… Tout le monde veut goûter ?
Megan Smuckler et Collin Emerick : Very good ! Très bon ! Si vous visitez avec quelqu’un qui connaît, qui vit dans la ville, vous apprenez bien plus.
Journaliste : Une rencontre riche des deux côtés.
Patrick Lucard : Tout au long de la promenade, on a parlé autant de Boulogne et beaucoup de New-York ! Euh… Et c’est ça qui, la manière dont ils vivent, la manière dont ils voient les choses et c’est ça qui est intéressant !
Journaliste : les greeters sont nés dans les années 90 à New-York. Le succès est immédiat. Etats-Unis, Chine, Russie, Côte d’Ivoire, Argentine, Australie. Aujourd’hui, les greeters sont essaimés dans plus de 25 pays, regroupés dans un réseau mondial. Et pour profiter d’une balade, il suffit de se connecter, de choisir son pays et de réserver. C’est ce qu’a fait cette famille bruxelloise pour son escapade niçoise.
Chantal Bianchi-Sala : Clément Bonjour ! Bon, je suis Chantal et je suis greeter. On va se faire une petite balade dans la ville.
Journaliste : Et ça commence par le Vieux Nice, ses ruelles étroites, ses maisons serrées et son riche patrimoine.
Chantal Bianchi-Sala : Si vous vous retournez, derrière, l’église, c’est Sainte-Rita, en fait. Elle a été construite sur une.. une des plus vieilles chapelles de Nice.
Journaliste : Au menu de la visite, une recette : les beignets de fleurs de courgette.
Chantal Bianchi-Sala : Une courgette beurre. Elle est beaucoup plus tendre, elle a vraiment le goût, ce petit goût de beurre de noisette.
Reporter : Elle parle beaucoup Chantal ? Ca va ? Pas trop ?
Aurore Héran : Elle parle juste ce qu’il faut et puis elle m’a donné des recettes de cuisine. Donc là, on reprendra un peu de Nice dans nos valises.
Journaliste : En France, près de 30 villes sont déjà membres du réseau des greeters.
Source : extrait du JT de France 2, 16 juillet 2013