Couchsurfeur 1 : Leonhard, coming from Germany.
Couchsurfeur 2 : Nick, from Boston.
Couchsurfeur 3 : Boris, from Peru.
Couchsurfeuse : Hello, Annie, Hungary.
Journaliste : Les noms, les accents, les kilomètres. Tout les sépare, sauf la façon de voyager. Tous sont couchsurfeurs, en français surfeurs de canapé. Ils s’invitent chez l’habitant pour dormir dans le salon ou dans une chambre d’ami pour quelques nuits. L’hébergement est gratuit.
Couchsurfeur 4 : Couchsurfing, c’est sans alcool !
Pierre-Luc Gosselin, couchsurfeur : En 6 ans, je dirais, j’ai hébergé plus de peut-être 150 personnes. Euh, 70, environ 70 personnes m’ont hébergé dans, c’est en tout, c’est dans 14 pays.
Journaliste : En 2 ans, Violaine, elle, a pu visiter l’Europe de l’Est et pas seulement.
Violaine Ritaine, couchsurfeuse : J’ai visité la Syrie, le Liban, par ce biais-là, entre autres. Donc avec couchsurfing, y a vraiment pas de limites et vraiment, on peut voyager partout, partout, partout dans le monde.
Journaliste : Comptez pour une semaine une centaine d’euros et le billet d’avion. La formule est économique. Mais pour voyager en couchsurfing, Violaine doit accepter de recevoir des voyageurs sur son canapé.
Violaine Ritaine, couchsurfeuse : Caner est Turc, il vient d’Istanbul. Je vais l’héberger pendant 4 jours à la maison. Oui, j’ai ce plaisir-là. On aura le temps de faire connaissance.
Journaliste : Caner, lui, a le plaisir… ou presque, de vivre (Caner, Good morning) comme à la maison. Au programme : baguette, croissants, crêpes… Un vrai petit déjeuner à la française. Le début du voyage et de la découverte.
Caner Eminogullari : Je veux pouvoir voyager, rencontrer les habitants pour connaître mieux la culture, le pays… Avoir un petit déjeuner local comme maintenant. C’est tout ! Je ne cherche pas le grand luxe.
Journaliste : Plutôt que le luxe, il vise l’authenticité, et si possible, sortir des sentiers battus. Les couchsurfeurs seraient les héritiers des routards des années 70. 3 millions dans le monde, 20.000 nouveaux inscrits par semaine, le phénomène a le vent en poupe. 60 ans après la création du premier réseau d’hospitalité par des pacifistes américains, ces globe-trotters-là ont réussi avec Internet à se faire ouvrir les portes du monde même celles de l’Antarctique.
Source : Extrait du 19/20 de France 3 – 5 août 2011
Couchsurfeur 2 : Nick, from Boston.
Couchsurfeur 3 : Boris, from Peru.
Couchsurfeuse : Hello, Annie, Hungary.
Journaliste : Les noms, les accents, les kilomètres. Tout les sépare, sauf la façon de voyager. Tous sont couchsurfeurs, en français surfeurs de canapé. Ils s’invitent chez l’habitant pour dormir dans le salon ou dans une chambre d’ami pour quelques nuits. L’hébergement est gratuit.
Couchsurfeur 4 : Couchsurfing, c’est sans alcool !
Pierre-Luc Gosselin, couchsurfeur : En 6 ans, je dirais, j’ai hébergé plus de peut-être 150 personnes. Euh, 70, environ 70 personnes m’ont hébergé dans, c’est en tout, c’est dans 14 pays.
Journaliste : En 2 ans, Violaine, elle, a pu visiter l’Europe de l’Est et pas seulement.
Violaine Ritaine, couchsurfeuse : J’ai visité la Syrie, le Liban, par ce biais-là, entre autres. Donc avec couchsurfing, y a vraiment pas de limites et vraiment, on peut voyager partout, partout, partout dans le monde.
Journaliste : Comptez pour une semaine une centaine d’euros et le billet d’avion. La formule est économique. Mais pour voyager en couchsurfing, Violaine doit accepter de recevoir des voyageurs sur son canapé.
Violaine Ritaine, couchsurfeuse : Caner est Turc, il vient d’Istanbul. Je vais l’héberger pendant 4 jours à la maison. Oui, j’ai ce plaisir-là. On aura le temps de faire connaissance.
Journaliste : Caner, lui, a le plaisir… ou presque, de vivre (Caner, Good morning) comme à la maison. Au programme : baguette, croissants, crêpes… Un vrai petit déjeuner à la française. Le début du voyage et de la découverte.
Caner Eminogullari : Je veux pouvoir voyager, rencontrer les habitants pour connaître mieux la culture, le pays… Avoir un petit déjeuner local comme maintenant. C’est tout ! Je ne cherche pas le grand luxe.
Journaliste : Plutôt que le luxe, il vise l’authenticité, et si possible, sortir des sentiers battus. Les couchsurfeurs seraient les héritiers des routards des années 70. 3 millions dans le monde, 20.000 nouveaux inscrits par semaine, le phénomène a le vent en poupe. 60 ans après la création du premier réseau d’hospitalité par des pacifistes américains, ces globe-trotters-là ont réussi avec Internet à se faire ouvrir les portes du monde même celles de l’Antarctique.
Source : Extrait du 19/20 de France 3 – 5 août 2011